Hugo Ortega (ou comment surfer sur le monde à seulement 18 ans)

Anonim

"La vérité est que depuis que je me souvienne, j'ai voulu être surfeur. C'est la faute de mon père, je l'ai vu en mer et j'ai voulu faire pareil », se présente Hugo avec une grande admiration pour son père. Et mon garçon, l'a-t-il fait, de loin !

Autre référence : "Dane Reynolds," dit-il avec force.

Le surfeur Hugo Ortega

Le surf est un mode de vie qui permet d'être en contact avec la nature.

A seulement 18 ans, il a une chevelure blonde que beaucoup d'entre nous aimeraient, et nous n'y parviendrons que si nous passons des heures et des heures entre le salpêtre et le soleil. Hugues admet que Le plus dur dans ce métier – qu'il a choisi très jeune – est de devoir quitter famille et amis. "chez soi" pour chasser les vagues du monde entier.

Ironiquement, pour lui, le plus gratifiant est découvrir de nouvelles vagues.

Qu'est-ce qui vous différencie d'un amateur ? "J'ai la chance d'être sponsorisé par RVCA, qui est ma marque de vêtements préférée, et par Pukas, qui est l'une des meilleures firmes de planches de surf ».

Le surfeur Hugo Ortega

Découvrir de nouvelles vagues est l'un des objectifs d'Hugo lorsqu'il voyage.

Le Catalan J'allais devenir joueur de tennis, mais l'amour de l'eau était plus fort. Il avoue surfer tous les jours, ce qui l'a amené à être finaliste de la classe Quemao, "LA" vague d'Europe selon les experts.

Oui, c'est l'équivalent surfeur de Snowflake. Un barcelonais atypique à la hauteur des grands hawaïens, brésiliens ou australiens. Et tous un voyageur avec un long chemin à parcourir. Dans l'avion, préfère le siège de la fenêtre pour dormir. Et il se vante d'arriver toujours aux aéroports avec deux heures d'avance, comme le veut la prudence.

Le surfeur Hugo Ortega

Sac à dos, planche... et c'est parti !

Le surf l'a emmené au Brésil à l'âge de 7 ans, le premier voyage dont il se souvient. Et, depuis lors, toutes ses aventures ont été vers des destinations avec des vagues. Bien que plus tard profite de l'occasion pour avoir des moments de tourisme, la seule raison de se déplacer est dans les courants de la mer.

« Mon endroit préféré est l'Indonésie : une marée incroyable, des gens sympas et de bonnes vibrations. C'est aussi l'endroit idéal pour acheter des bagues, mon autre passion », s'amuse-t-il. À partir de là, il a été fasciné par les ondes de tube parfaites, comme celles des bobines Instagram. « C'était la première fois que je surfais des vagues avec un fond corallien, vraiment dangereux, mais j'ai eu beaucoup de chance et je n'ai pas eu de blessures graves », se souvient-il.

Et il continue: "Les tubes sont ce qui m'attire le plus dans ce sport avec les sauts." Bien sûr, il avoue qu'il lui a été difficile de s'habituer à la nourriture. C'est tellement différent de l'Europe ! », s'exclame cet amateur de pâtes carbonara.

Le surfeur Hugo Ortega

Le barcelonais Hugo Ortega.

La deuxième fois qu'il est allé en Indonésie, il était dans le sud de Sumatra, où, en cas de blessure telle qu'une coupure de corail, il y a un sérieux problème, car l'hôpital le plus proche est à 10 heures de route. Pourtant, "ce qui fait vraiment peur dans la région, c'est prendre une moto, souvent le chaos !, être honnête avec humour.

Si on l'interroge sur son voyage le plus répété, il regarde l'interlocuteur avec ses énormes yeux verts et ne doute pas : le Nicaragua. « Je vais tous les étés chez une amie depuis l'âge de 12 ans. C'est là que j'ai appris à conduire quand j'avais 13 ans". Et Hugo veut terminer par un avertissement. « En passant dans les villages, il faut faire attention à ne pas écraser les cochons, il y en a beaucoup ! Et aussi il faut faire attention à la chaleur, parfois on ne sait même pas surfer », décrit.

Le surfeur Hugo Ortega

Du soleil, des vagues… et de la bonne humeur.

Un autre conseil, cette fois pour la beauté : "Avant de surfer, je m'enduit de une protection solaire respectueuse de la biodiversité marine”.

HÔTELS OÙ TROUVER HUGO :

Tout le monde sur cette liste a un incontournable pour l'adolescent: "Ils sont calmes, on voit la mer et ils ont un petit déjeuner varié et puissant".

* Le W, à Barcelone (de préférence après quelques burgers au restaurant Surf House)

* Hôtel Manary Praia, à Natal, Brésil

* Anantara Uluwatu Bali Resort, à Bali

* Tropic Popoyo, à Jiquelite, Nicaragua

Le surfeur Hugo Ortega

Hugo Ortega, finaliste de la classe Quemao de Lanzarote.

TROIS CHANSONS QUI VOUS MOTIVENT À SURFER :

  • L'évanouissement de Linkin Park
  • Mr Brightside de The Killers
  • Aiguilles, de System of a Down

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