Tout ce que vous recherchez, millennials, Dublin l'a
TOURISME TECHNOLOGIQUE
Le vide après la grande crise du début du siècle était si grand que n'importe quel coin de Dublin était susceptible de devenir un bureau. Aucune délimitation géographique n'établit donc les frontières de cette Silicon Valley. Pourtant, cette prospérité 2.0 a bel et bien fait les Docklands achèvent leur reconversion urbaine et passent d'une zone franche et d'un port délabrés à une consolidation en tant que centre d'affaires international. Cela apporte avec lui des bâtiments modernes, des bars à salade, des légumineuses rapides et plusieurs pistes cyclables. mais aussi toi Nous avons quelques virages qui valent la peine de suivre le cours de la rivière Liffey.
La grande icône de cette nouvelle ère est le dernier euro de l'ancien. C'est-à-dire le ** Convention Center et sa forme particulière de pinte couchée ** qui a réussi à succéder à la Flèche comme carte postale la plus représentative de l'époque contemporaine. D'autant plus si vous visitez la nuit, lorsque les lumières extérieures sont illuminées aux couleurs du drapeau irlandais ou avec d'autres selon le symposium qui se tient. Bien que le touriste à pied ne puisse accéder qu'à sa salle, la vue à l'intérieur est incroyable, avec un enchevêtrement d'escalators et une pente de verre cela donne une vue beaucoup plus nue de cette conception de Kevin Roche. Par curiosité, chaque étage dispose d'un pub, ce qui fait que l'Irlande n'est pas loin de chaque auditorium.
Dehors, l'autre jambe de la carte postale vous attend. Le pont Samuel Beckett, conçu par Calatrava, a été le premier habitant du nouveau millénaire dans la région . C'est quand même un classique moderne, mais le fait qu'il s'ouvre comme un bras qui se rétrécit pour laisser entrer les bateaux les plus lourds quand la marée le permet est un incitatif, en plus d'être un très bon partenaire avec le centre de congrès ultra-moderne.
Le Convention Center, qui peint couché
Derrière, le pub The Ferryman survit comme un héros de la brique et de la musique gaélique. La chasse aux édifices-sculptures guide les pas vers le Théâtre de l'Énergie Bord Gáis, temple de la culture et de une sorte de barre libre de formes et de lignes . Sa créativité se déploie par la place du Grand Canal et ses abords, où seuls quelques bâtons rouges « gâchent » le panorama métallique. C'est un souvenir, un clin d'œil au passé d'un quartier où se trouvaient les colonies de lépreux de la ville . L'espace paysage actuel Le Lire (siège de l'école d'audiovisuel) et le **stade AVIVA** sont les dernières étapes d'un circuit où les bateaux paresseux sur le canal et les adolescents pratiquant le paddle surf sont les meilleurs compagnons.
Bord Gáis Energy Theatre, épicentre culturel du quartier
Cependant, la ville n'a pas manqué l'occasion d'ouvrir une attraction pour parachever ce nouveau quartier. Le centre d'accueil EPIC couvre les sous-sols d'un centre commercial étouffé par la décomposition du début du siècle et t essayer d'expliquer l'influence de l'Irlande sur le monde à travers l'immigration. Qu'il soit intéressant ou non (le musée est conçu pour les descendants qui visitent l'Irlande à la recherche de leurs racines), le fait d'être un affichage technologique avec des tableaux plus typiques du Minority Report que de l'année 2016 C'est en soi une motivation et une agréable surprise.
L'Irlande, l'immigration et le monde
L'ORDAGO DU DESIGN
L'Irlande a fêté son année du design en 2015, 365 jours dédiés à la revendication des jeunes créateurs et artisans cela a simplement donné de la visibilité à certaines entreprises que les nouvelles générations avaient déjà en tête. Une évidence née de la nécessité, du coup dur de la fameuse crise qui il a poussé beaucoup de jeunes dans la vingtaine avec ses idées et ses croquis. Aujourd'hui, ils sont presque un merveilleux fléau, bénéficiant en partie de la prospérité de la ville et aussi de sa consolidation en tant que destination de shopping.
Pour cette raison, les achats du millénaire ne peuvent pas ignorer les grands espaces coopératifs tels que T la Maison du Design , une maison géorgienne aux couleurs criardes où chaque pièce est une vitrine d'armoires à bijoux, d'ânes habillés et de mannequins à chapeaux. Un méli-mélo né en 2013 de l'esprit de Bébhinn Flood, son fondateur et principal 'curator', qui reçoit et recherche quotidiennement de nouveaux talents dont la seule exigence, outre la qualité, est d'être et/ou de vivre en Irlande. Suivant cet exemple, d'autres espaces tels que LA Irish Design Shop, Designist ou Cow Lane agissent comme vitrine coopérative de différents artistes et designers situé dans les zones les plus commerçantes de la ville.
Vitrine de différents artistes
MANGEZ, BUVEZ, PIRATEZ
La génération Y de Dublin n'est pas dégoûtée par les anciens, c'est pourquoi ils sont sur leur carte les pubs classiques de Temple Bar ou les délicieux Fish and Chips de Leo Burdock. Mais c'est aussi ses bars coquets et ses clubs où l'on peut s'amuser qui héritent de l'esprit des Hack Nights, soirées qui réunissaient jadis programmeurs, designers et tous les mecs des nouveaux métiers dans une sorte de réseautage ringard non-stop. Une bonne parcours à travers les nouveaux loisirs à Dublin a quelques arrêts culturels essentiels tels que escarceo por le musée d'art moderne IMMA , un regard sur Galerie Temple Bar Soit une exposition à la Science Gallery .
Aussi son coin lecture spectaculaire avant-première dans The Winding Stair avant de se laisser emporter par le modernité gastronomique. Ou ce qui est pareil, **les hamburgers chez Skinflint** , les tables à partager chez Featherblade , les **bizarreries patates chez Boxty House** et le café chez 3fe ou Indigo & Cloth (avant ou après achat) . Aussi leurs pizzas 'Googlesque' chez Slatterys et ses copichuelas dans l'hypnotique et déjà mythique Le bar sans nom.
Livres + tables en bois = The Winding Stair
LE WHISKY EST LA NOUVELLE GUINESS
Ce parapluie de nouveaux stimuli a également atteint la bière et le whisky, qui n'ont pas résisté à la réinvention et à la révision. C'est pourquoi les pubs aiment Le marché de la bière, où seuls les jus d'orge artisanaux fabriqués sur l'île sont vendus. Ou que la mythique Guinness a osé avec un bière blonde houblonnée qui fait des vagues à travers le pays appelé Hop House 13 et de le montrer, avec d'autres créations, dans un bar clandestin situé près de son célèbre Storehouse (uniquement les jeudis et vendredis après-midi).
Cependant, même si cela semble vieux, le whisky est devenu la boisson par excellence grâce aux nouvelles distilleries qui menacent de complètement changer Dublin. Le pionnier de tous est Teeling, dont les alambics certains jeunes héritiers ont commencé à bricoler et à créer des coupes audacieuses à partir de fûts qui ont précédemment séché Sherrys, Portos et Cabernet Sauvignon, entre autres. Son nouveau siège se trouve dans l'ancien "Triangle d'Or" et son potentiel touristique est tel que les lignes de bus touristiques ont été détournées pour amener et ramener les dégustateurs intrépides.
Qui a dit que le whisky était démodé ?
L'HÔTEL PROMIS
Tous ces éléments incorporels de plaisir, de créativité, de technologie et de bonnes vibrations générales se retrouvent et se multiplient dans The Dean. C'est un établissement 100% Dublinois qui se vante d'être global en exploitant le local. Une accroche qui se traduit par des détails comme toutes les pièces disposant de ports USB (pour lutter contre l'empire des adaptateurs), Haut-parleurs Marshall pour « brancher » votre mobile ou votre iPod , des mini barres Smeg, un tourne-disque ou des savons de bain artisanaux. De plus, à la télévision, il n'y a pas la liste classique des chaînes internationales. Uniquement les chaînes locales et Netflix, accessible avec le compte de l'hôtel.
Vous aurez envie de rester et de vivre dans son bar...
Ses espaces communs continuent avec ce locurón. Toutes les oeuvres d'art exposées sont de artistes contemporains de la ville , une tâche commandée par James Early et son étude Input Out. De plus, certains confortables Des balançoires animent l'attente de l'ascenseur et la plus belle terrasse de la ville brille sur son toit. Chez Sophie, l'expérience gastronomique est éclipsée par son parfum enivrant de Place to be, même si son four fait maison, ses pizzas, ses anti pasti et sa cave à vin réussie sont un gage de réussite.
Des chambres avec une touche rétro qui vous fait tomber amoureux